1 / 1

Lire

Quelle solution pour créer ou développer son entreprise sans payer plus chère ?

Créer son propre entreprise et la développer est l’objectif de tout entrepreneur, cependant, nombreux sont ceux qui hésitent à sauter le pas car la fiscalité, les impôts élevés représentent des freins importants, sans parler du coût de développement et de la masse salariale !

Quelle solution s’offre alors à vous ?

En 2015, André Chauvin, le CEO actuel de Business France Groupe, a dû faire face à ce challenge à la création de sa 1er entreprise : La développer et continuer sur une belle progression du chiffre d’affaire ou tout simplement tout arrêter. En France il ne pouvait tout simplement pas employer plus de personnel, dû à la charge salariale, et les banques lui refusait leurs confiances dont il avait besoin pour ouvrir une succursale. Continuer ainsi lui aurait couter son entreprise.

C’est alors qu’il a rejoint d’autre entrepreneurs au Qatar. Cela lui a permis de développer son entreprise sans payer cette masse salariale lourde tout en faisant de beau bénéfice, net d’impôt.

Aujourd’hui, André est à la tête d’une affaire à plusieurs chiffres et fait vivre plusieurs employés sans pour autant payer une fortune en taxe et impôt et bien sur tout ça légalement

Pourquoi le Qatar plutôt que Dubai ?

Avant de découvrir quel avantage pour implanter ou développer votre entreprise au Qatar, il est important de connaître les raisons qui poussent les entrepreneurs à choisir le Qatar plutôt que Dubai.

Le Qatar va devenir une grande capitale commerciale et financière d’ici 2022 contrairement à Dubai.

Pour beaucoup d’Européens, Dubaï est synonyme de richesse, de tours extravagantes et d’argent qui coule à flots. C’est bien simple, cette ville est devenue un lieu touristique incontournable en quelques années. Mais ce que le touriste ne voit pas, c’est que cette ville est en crise.

Sous l’influence et la pression de l’Arabie saoudite, Dubaï et les autres Emirats Arabes Unis ont décidé de punir leur voisin, le Qatar.
Depuis 2017, il y a un embargo maritime et aérien à l’encontre du Qatar.

Le Qatar à très rapidement fait face à cet embargo grâce à ses immenses richesses gazières, ce micro-Etat a trouvé de nouvelles sources de ravitaillement alternatives. En revanche, l’économie de Dubaï à commencer à s’effondré.

Les investisseurs étrangers ont vu que Dubaï n’a pas pris de gant pour expulser en deux semaines les Qataris qui vivaient sur leur sol, et ils se disent que s’ils font cela à leurs frères du Golfe, que peuvent-ils faire à quelqu’un qui ne leur ressemble pas et qui ne parle pas leur langue !

Le taux de croissance de Dubai en 2018 était de 1,94%, soit la moitié de celui de 2017.

Le secteur vital de l’immobilier accuse un recul, tout comme le tourisme et le commerce. Nombre de grands projets, notamment celui de l’aéroport Al-Maktoum qui devrait être le plus grand du monde, ont été gelés.

En 2018, les transactions immobilières ont chuté de 21,5% à 60 milliards de dollars et le nombre de touristes a stagné à environ 16 millions.
Beaucoup d’investisseurs et entrepreneurs se sont alors tournés vers le Qatar.

Pourquoi le Qatar ?

Le Qatar tient majoritairement sa richesse de ses réserves massives d’hydrocarbures, grâce notamment au North Field, plus gros champ gazier du monde. En investissant fortement, depuis les années 90, dans le Gaz Naturel Liquéfié (LNG) dont il est le désormais le premier exportateur, le pays possède le plus fort revenu par habitant.
L’économie du Qatar est solide et en croissance, son système bancaire est sain, l’inflation reste faible et ce malgré le blocus de 2017. Car la manne gazière et pétrolière permet à l’Etat d’investir suffisamment pour atteindre les objectifs ambitieux qu’il s’est fixé en accueillant la Coupe du Monde FIFA en 2022 mais également dans sa Vision à 2030, diversifiant ainsi à moyen et long termes ses sources de revenus.

Pour mieux répondre aux besoins des entreprises étrangères souhaitant s’installer au Qatar, le pays s’est doté de structures d’accompagnement performantes, encourageant l’investissement local et international. Ainsi par exemple le Qatar Financial Center, qui permet un enregistrement sans sponsor, fournit le soutien juridique, réglementaire et financier pour que les entreprises puissent faire des affaires au Qatar mais également dans la région. La création de plusieurs zones franches est encore un symbole de la volonté du pays de faire appel aux sociétés étrangères pour dynamiser son tissu économique.

Et le bien-être social n’est pas en reste, le Qatar souhaitant devenir un modèle dans le Golfe en accueillant depuis 2018 le premier bureau de projet de l’Organisation Internationale du Travail qui devra appuyer la mise en œuvre d’un programme global de coopération technique sur les conditions de travail et les droits des travailleurs au Qatar. Le système de santé, par ailleurs, est gratuit et performant.

Le Qatar à le taux de croissance le plus élevé au monde.

En outre, le Qatar a choisi de se doter de la première smart city au monde : le quartier de Msheireb Downtown est équipé d’applications et services “intelligents” et l’opérateur français Orange est largement associé au projet.

Le Qatar présente de réelles opportunités dans les équipements, les matériaux et les services liés aux grands projets, dont la Coupe du monde de football 2022, mais aussi dans les biens de consommation, les nouvelles technologies, la santé et l’agroalimentaire.

De plus en plus de Francophones, et notamment des Français, investissent dans l’extraction du pétrole et du gaz, l’industrie manufacturière, les industries chimiques ainsi que les services financiers. On retrouve de grands noms comme Vinci, Total, Veolia, Vivendi ou encore LVMH, Bouygues, Air liquide.

Les Français joue un grand rôle au Qatar avec Systra et Egis qui ont remporté des contrats importants. Ensuite ils ont construit des lignes : là encore les grands acteurs du BTP français ont eu une part importante. Ensuite ils ont acheté du matériel : une opportunité pour Alstom qui a décroché le tramway de Lusail. Enfin il y a eu une très forte compétition pour l’exploitation du métro et du tramway, avec en finale les Allemands et les Français ; les Français l’ont emporté car ils ont le meilleur track record en matière de métro automatique et de tramway. Le contrat a été gagné par Keolis, très grand exploitant mondial de métro automatique et la RATP qui a la même expérience.
Il y a une relation politique entre la France et le Qatar qui est très solide, c’est un socle.

Le Qatar est une future économie industrielle, avec du digital, de l’intelligence artificielle, de la cybersécurité, de l’optimisation énergétique, dans la santé, dans l’éducation. C’est un pays qui a envie d’être “best in class” dans le monde.